Un roman de Pauline Delabroy-Allard, court et bien
écrit, qui pourrait être plus court encore, car l’histoire occupe quarante
pages au maximum. Tout le reste est une répétition constante (variations
sur un thème) et parfois ennuyeuse. Les mots finals m'ont rappelé le film Les choses de la vie,
lorsque le protagoniste est lui aussi en train de mourir.
Après avoir lu cette histoire, ma dose de
sentimentalisme a été complétée jusqu’à la fin du siècle.
Mélenchon pourrait encore gagner
des élections, mais il faudrait qu’il soit le seul candidat et que le vote soit
obligatoire. Et même comme ça, ce ne serait pas sûr.
Un roman épistolaire
de Régis Jauffret. De l'humour noir, mais sans presque d’humour noir. Trois
personnages erratiques, avec un langage semblable, qui marchent vers nulle
part. Trois histoires qui ne font pas une histoire. Bref : une sacrée
masturbation intellectuelle.